Tel : +33 (0) 1 47 20 40 07
86 Avenue Foch,
75116 Paris
La réduction des petites lèvres génitales (nymphoplastie) est une demande de plus en plus fréquente dans les consultations de chirurgie plastique et esthétique.La médiatisation, en particulier, de ce type de problème a emmené de nombreuses patientes à consulter. Ces patientes, de plus en plus jeunes, vivent un véritable complexe, parfois depuis l’adolescence troublant leur vie amoureuse.
Cette chirurgie intime est simple techniquement et présente d’excellents résultats apportant aux patientes un véritable soulagement physique et psychologique. En revanche, il est important que cette intervention qui présente des risques soit réalisée par des praticiens habitués dans un milieu chirurgical (bloc opératoire) d’autant qu’une prise en charge partielle de l’assurance maladie est possible.
DURÉE D’INTERVENTION : 45 min
RÉSULTAT FINAL : 4 semaines
ANESTHÉSIE : locale ou sedation
La technique la plus ancienne (technique longitudinale) consiste à retirer l’excès cutané-muqueux suivant un croissant qui coupe la partie supérieure de la petite lèvre comme si on couper des cheveux, au maximum une véritable amputation (nymphectomie) est possible. L’inconvénient de cette technique c’est qu’elle décapite la petite lèvre laissant un bourrelet qui ne resemble plus à l’anatomie normal d’une petite lèvre. Par ailleurs, la cicatrice est sur toute la zone de contact avec les sous-vêtements, le risque de trouble de cicatrisation (désunion, infection, hématome) est plus important et les patientes se plaignent de l’importance des suites opératoires et surtout le risque plus fréquent de séquelles à type de dyspareunies.
Dernièrement, des techniques dérivant des techniques de chirurgie plastique avec des résections en « V » ou plastie en V permettent de diminuer la longueur de la cicatrice afin d’éviter le risque de complication locale. La technique utilise une résection centrale en V limitant la cicatrice à la partie centrale des petites lèvres, cette technique est bien supérieure à la technique classique car elle limite la cicatrice à la région centrale de la petite lèvre. Elle permet des résections d’importance faible à moyenne mais est parfois insuffisante pour les grandes hypertrophie. Elle présente comme inconvénients de placer les cicatrices dans la partie centrale de la petite lèvre ce qui peut être source de problème de cicatrisation à type de désunion partielle si la technique n’est pas rigoureuse.
Les suites sont simples si les conseils d’hygiène et de prudence élémentaire sont respectées. Pendant les jours qui suivent l’intervention, les douleurs sont possibles à type de brûlures calmées par des antalgiques simples (paracétamol). Des soins locaux sont à faire chaque jour à type de désinfection locale jusqu’à la chute des fils résorbables. Les douches sont autorisées à partir du 3ème jour mais pas les bains (à partir de 3 semaines).
Enfin, élément important à préciser, les rapports sexuels sont interdits ainsi que l’usage de tampons périodiques pendant 4 à 6 semaines suivant la cicatrisation.
L’augmentation des grandes lèvres génitales est une demande de plus en plus fréquente dans les consultations de chirurgie plastique et esthétique. L’objectif est de régalber les grandes lèvres qui ont perdu du volume après amaigrissement ou avec l’âge.
Rappel anatomique:
Les grandes lèvres sont bombées et bien visibles, de part et d’autre de la « fente » vulvaire, elles sont recouvertes d’une peau fine qui favorise l’évaporation d’eau. Elles contiennent des glandes de sueur et des glandes à sébum qui permettent un graissage naturel de la peau. Elles sont recouvertes de poils à l’extérieur alors que leur intérieur reste glabre sans poils.
La pigmentation de la peau est plus prononcée coté extérieur et l’intérieur est rose et lisse. La taille et la forme varie selon les femmes et des variations de taille et de forme entre les lèvres d’une même femme sont courantes.
Comment augmenter les grandes lèvres?
L’augmentation des grandes lèvres est réalisée soit par injection de graisse (lipofilling) soit par injection d’acide hyaluronique.
Dans le cas du lipofilling, il faut réaliser au bloc sous anesthésie locale une petite lipoaspiration puis réinjecter la graisse dans les lèvres.Il y à toujours une fonte partielle, on va donc sur corriger ou prévoiront 2e séance après 3 mois.
Pour l’acide hyaluronique, la technique est simple, se pratique au cabinet sous Anesthésie locale.On injecte une à 2 seringues/cotés (Desirial-plus) qui va durer en moyenne 12 mois.
Cette intervention est souvent couplée à la réduction des petites lèvres, elle permet ainsi de couvrir les petites hypertrophie des petites lèvres ou de parfaire l’aspect esthétique lors d’une labiaplastie.
Un lipofilling permet d’augmenter le volume sans corps étranger. Il s’agit de réinjecter de la graisse prélevée sous anesthésie locale, dans une région discrète et en petite quantité (genoux, abdomen, hanches, mont de vénus).
Le résultat est immédiat avec une durée de plusieurs mois à années à poids constant. Après une phase d’œdème et de rougeur de deux à cinq jours, le résultat est naturel et la graisse apporte une qualité à la texture de la peau supérieure à l’acide hyaluronique.
Une autre solution consiste à injecter de l’acide hyaluronique, utilisé pour combler les rides habituellement. L’intérêt d’augmenter les grandes lèvres est mixte car il apportent en plus du remodelage esthétique, un coussinet physique qui protège l’entrée du vagin et limite les irritations locales.
La quantité injecté est en général plus faible que la graisse entre 2 et 4 cc/côté car le produit se gorge d’eau et il est plus volumateur que la graisse.
Le comblement par injections d’acide hyaluronique donne une souplesse comparable au tissu cutané, mais les bénéfices disparaissent avec le temps car le produit est résorbable en 12 mois en moyenne.
Le point G est une zone érectile de 2 à 3 cm de grand axe située dans la paroi vaginale antérieure à 3 cm de l’orifice vaginal, à mi-chemin entre le pubis et le col de l’utérus. Sa taille et sa sensibilité sont variables d’une femme à l’autre. Il possède sa propre réactivité musculaire aux diverses stimulations, ainsi qu’une fonction exocrine (excrétion du fluide vaginal).
Son fonctionnement peut être perturbé et entraîner au fil du temps une baisse du désir. Les causes peuvent être diverses : d’origine hormonale (baisse des hormones avec le temps), également anatomiques accompagnant des troubles de la statique pelvienne avec perte de la tonicité périnéale après accouchement, après une chirurgie pelvienne, périnéale… psychologiques enfin avec déni périnéal, anorgasmie primitive ou secondaire.
Une réponse peut être proposée avec « l’amplification du point G » permettant d’exposer cette zone érogène pour qu’elle soit plus facilement stimulée.
Il s’agit d’une injection de 1 à 2 ml d’acide hyaluronique, produit naturel et résorbable, utilisé également en médecine esthétique pour le traitement des rides, constituant normal du derme, et permettant une réhydratation des tissus. L’effet obtenu est une stimulation des glandes para-urétrales et leur sécrétion, facilitant la lubrification de la zone, ainsi qu’un effet volume.
Cette technique constitue le seul traitement de rajeunissement, de soutènement de cette zone érogène tissulaire, modifiée au cours des différentes périodes génitales féminines.
Les effets indésirables sont rares : douleurs au point d’injection, réaction inflammatoire locale (moins de 5%). En revanche, un saignement superficiel est fréquent juste après l’injection.
Certaines femmes ont un excès graisseux parfois trop proéminent dans la zone au-dessus des poils pubiens, généralement lié à un surpoids mais pas obligatoirement. Il est parfois anatomique car lié à un bassin antéversé qui propulse le pubis en avant.
Ceci est souvent associé à de grandes lèvres volumineuses. Cette adiposité localisée peut donner une silhouette peu féminine. La correction repose sur la lipoaspiration de cette zone quand l’excès graisseux est responsable du Mont Vénus.
L’intervention consiste en une liposuccion. S’il y a un relâchement cutané on procédera en parallèle à un lifting. Les cicatrices seront cachées dans les plis naturels de la peau.
Les résultats : Très bons quand le Mont Vénus est graisseux, inefficace si le Mont Vénus est anatomique (forme du bassin).
DURÉE D’INTERVENTION : 20 mn
RÉPÉTITION / DURABILITÉ : 1 séance
RÉSULTAT FINAL : immédiat et optimal à 30 jours
Tel : +33 (0) 1 47 20 40 07
86 Avenue Foch,
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